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 Flash-Back, Un chasseur est né

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Clark RinzeClark Rinze
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Localisation : Ecosse. Parfois.
Emploi/loisirs : Chasseur.
Humeur : Sanguinaire.
MessageSujet: Flash-Back, Un chasseur est né   Flash-Back, Un chasseur est né EmptyJeu 30 Avr - 23:42






Le silence s’installe, la nuit tombe, les animaux s’endorment. Les humains également. La vie se fait étrangement silencieuse quand la nuit apparaît, tout redevient dans l’ordre des choses, et les ombres prennent l’avantage.

Est-ce que je me définirais comme quelqu’un d’atypique et d’isolé ? Oui. Définitivement oui. Je ne comprends pas les gens, je ne comprends pas ma famille, et je ne comprends pas non plus ma « femme ». Cette femme que je laisse traîner de lits en lits, salissant notre réputation, les personnes importantes savent que je suis toujours aussi compétent, mais pour les autres, je ne suis qu’un homme qui se laisse faire et ne sait pas maîtriser ma femme. Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, cela leur apporte un sentiment de sécurité et quand vient le moment de frapper, je n’ai pas à trop me salir, ils ne se débattront pas. Ce sont des idiots, même ma femme, même elle qui ne me respecte pas, sait qu’elle doit se tenir loin de moi et ne pas faire de bruit. C’est une nuisance acceptable dans ma vie pour me permettre de passer inaperçu.

Le silence autour de moi est comme une chape de plomb pour certains mais pour moi, c’est juste une absence de bruits très bienvenue, accueillit avec joie. Enfin de la joie, suis-je vraiment capable d’en ressentir ? Je ne sais pas vraiment. Est-ce vraiment important ?

Je lâche ma hache et mes gants dans mon cabanon pour prendre à la place mes affaires de chasse. Mon arbalète a été construite par mon instructeur comme récompense,  mes gants et ma veste me protègent des dangers de la nuit. Je jette à peine un regard à la maison, me rendant compte qu’elle était vide et donc que ma femme devait être dans un autre lit, mais j’avance sans m’appesantir sur ce fait. La nuit m’enveloppe donc et j’en fais parti à mon tour.

Ce moment de la journée était mon préféré, bien plus apprécié que mon loisir de forgeron, je devenais le chasseur, peut être pas le chasseur ultime, mais un chasseur qui se défendait et défendrait sa peau très chèrement. J’avançais en silence à travers la forêt qui était empli des bruits de la nuit, mes pas ne s’entendaient pas et mon souffle était presque inaudible, je disparaissais dans l’environnement, et cela apporta en moi une sensation de bien-être et de puissance.
Des bruits autour de moi raisonnaient, des retardataires qui rejoignaient enfin l’endroit où ils passeraient la nuit, à tout autre moment, je me serais arrêté pour les surprendre, mais aujourd’hui, une mission m’avait été confiée. Le chef de notre village était venu me voir pour me payer si je chassais la bête s’en prenant de nuit aux bétails et humains de notre village. J’aurais bien refusé cette mission mais apparemment, trois autres chasseurs étaient déjà partis sans jamais revenir, tout cela avait excité le chasseur curieux en moi. Et me voici donc, me promenant dans la forêt, à la recherche d’un prédateur apparemment plus fort que moi.

En communion avec la forêt, il me fallut à peine quelques secondes avant de me rendre compte que le silence était tombé autour de moi. Il faut savoir que même la nuit, des bruits raisonnaient toujours dans la forêt, des hululements, des crissements, des criquets. Toute cette vie était absente en ce moment-même. Un sentiment d’adrénaline m’envahit pendant qu’en moi, tous mes instincts criaient la fuite. En temps normal, j’écoutais toujours mon instinct, mais cette fois, la prime et la nouveauté étaient assez intéressantes pour me faire ignorer ces signaux envoyés par mes instincts de chasseur. Je renforçais ma prise sur mon arbalète, la levant et encochant mon carreau. Mes pas étaient toujours aussi silencieux et en apparence, rien n’avait changé, mais je sentais un regard posé sur moi. Le mien balaya la clairière où j’étais, cherchant l’origine de ce regard étranger, mais ne le trouvant pas avant qu’il ne soit trop tard.

Un coup de vent me déséquilibra, mais je ne perdis pas mon arbalète, un rire enchanteur, et véritablement amusé raisonna, me faisant m’interroger sur sa provenance. Ma tête tourna dans toutes les directions, ne trouvant pas cette femme, car c’en était une au vu du rire. Un autre coup de vent, que je soupçonnais provenir de cette femme m’arracha mon arbalète. Cette fois, la situation se corsait, pourtant, je ne choisis pas de sortir mon glaive, ayant peur de voir ma dernière arme m’être arraché. J’attendis donc que cette femme arrête de jouer et apparaisse. Et là, me vient une apparition.

Cette femme était rousse, d’affriolantes boucles rousses même. Celle-ci courait autour d’un visage délicat figé dans une expression qui était mi-féroce, mi-souriante. Son corps était recouvert de peau de bête et de matière qui m’était inconnu sur le moment, même si ma vision nocturne était bonne. Son corps tressautait de ses rires et en sa main se tenait mon arbalète. Sa voix s’éleva ensuite, bref moment de bonheur parmi toutes mes incertitudes, mes yeux ayant du mal à transmettre en mon cerveau ce que je voyais.

« C’est cela que tu cherches, Chasseur ? »

Je ne fis pas l’erreur de lui répondre, son regard me montrant qu’elle aurait éprouvé un amusement certain à me voir patauger en eaux troubles pour m’en sortir. Mon absence de réponse la poussa à reprendre avec un air déçue de petite fille, qui vous filait des frissons d’angoisse dans le dos.

« Tu as perdu ta langue Chasseur ? Enfin, ce n’est pas grave, tu n’en auras bientôt plus besoin de toute façon. »

Mes sourcils se froncèrent en l’entendant, je ne comprenais pas encore ce qui se passait. Et là, tout d’un coup, elle fut devant moi, mon arbalète laissée en arrière, elle m’observa d’un air fasciné, touchant mon bras, me faisant reculer. Cette incroyable beauté paraissait perdue, elle releva la tête vers moi et dit avec une moue triste.

« Dommage que tu doives mourir, tu aurais fait un compagnon tout à fait acceptable tout de même. »

A la fin de sa phrase, elle m’enlaça, et je me découvris incapable de me défendre, sa force étant beaucoup plus grande que je ne l’aurais d’abord pensé. Tout d’un coup, une grande douleur apparut dans mon cou, une déchirure, au bout de quelques secondes, je compris qu’elle était dû à cette femme et ses… Canines ? Il me fallut un moment pour me rappeler de légendes locales communiquées par des marchands, et là, je compris ce qu’il se passait, et je compris ce qui avait tué mes autres collègues. Une vampire. Elle.
Cette nouvelle me mit en colère, je n’allais certainement pas mourir de la main d’une femme, aussi belle soit-elle. Ma main se glissa à ma taille, et trouva mon glaive que j’attrapais fermement malgré la douleur qui me prenait à la gorge. Une profonde inspiration, puis je donnais cette fois un grand coup vers le haut, déchirant le ventre de cette femme jusqu’à ses côtes et surement son cœur.
Elle émit un gémissement avalé signifiant la douleur qui aurait surement rendit n’importe qui d’autre de compatissant, mais ne me fit rien. Elle s’arracha à mon cou, et la brise nocturne caressa la peau ouverte de mon cou. Elle me regardait avec de grands yeux choqués et douloureux mais ne paraissait pas être sur le point de s’effondrer comme n’importe qui d’autre l’aurait fait. Au contraire même, un sourire s’étendit sur ses lèvres, qu’elle lécha, lèvres rouges écarlates, écarlate de mon sang. Elle éclata d’un grand rire carillonnant et me dit, a à peine 1 mètre de moi :

« Beau, chasseur, musclé et rusé. Bravo, je n’avais pas vu cette arme et ton coup. Tu aurais surement tué d’autres, moins vieux que moi. »
Elle laissa passer un silence, avant de reprendre avec enthousiasme. « Tu feras un excellant apprenti donc. »

Elle donna un coup, surement j’imagine, même si je ne le vis pas, à ma main qui tenait mon glaive et je dus le lâcher, à ce moment-là, elle ressauta sur moi.
La suite se fit flou dans ma mémoire, et je compris à mon réveil qu’elle était en train de me vider, cette fois non pas pour se nourrir mais pour me transformer.
Ce fût à ce moment-là que commença ma vraie vie. Que je deviens Clark Rinze, un vampire. Un chasseur. Le Chasseur ultime.

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Domino Vey
He writes my life
Domino Vey
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Localisation : Ecosse
Emploi/loisirs : Créatrice de chassures
Humeur : Amoureuse tourmentée
MessageSujet: Re: Flash-Back, Un chasseur est né   Flash-Back, Un chasseur est né EmptyVen 1 Mai - 0:11

Voilà un code qui marche chez moi, à voir si ça marche pour toi ou pas ^^





Le silence s’installe, la nuit tombe, les animaux s’endorment. Les humains également. La vie se fait étrangement silencieuse quand la nuit apparaît, tout redevient dans l’ordre des choses, et les ombres prennent l’avantage.

Est-ce que je me définirais comme quelqu’un d’atypique et d’isolé ? Oui. Définitivement oui. Je ne comprends pas les gens, je ne comprends pas ma famille, et je ne comprends pas non plus ma « femme ». Cette femme que je laisse traîner de lits en lits, salissant notre réputation, les personnes importantes savent que je suis toujours aussi compétent, mais pour les autres, je ne suis qu’un homme qui se laisse faire et ne sait pas maîtriser ma femme. Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, cela leur apporte un sentiment de sécurité et quand vient le moment de frapper, je n’ai pas à trop me salir, ils ne se débattront pas. Ce sont des idiots, même ma femme, même elle qui ne me respecte pas, sait qu’elle doit se tenir loin de moi et ne pas faire de bruit. C’est une nuisance acceptable dans ma vie pour me permettre de passer inaperçu.

Le silence autour de moi est comme une chape de plomb pour certains mais pour moi, c’est juste une absence de bruits très bienvenue, accueillit avec joie. Enfin de la joie, suis-je vraiment capable d’en ressentir ? Je ne sais pas vraiment. Est-ce vraiment important ?

Je lâche ma hache et mes gants dans mon cabanon pour prendre à la place mes affaires de chasse. Mon arbalète a été construite par mon instructeur comme récompense,  mes gants et ma veste me protègent des dangers de la nuit. Je jette à peine un regard à la maison, me rendant compte qu’elle était vide et donc que ma femme devait être dans un autre lit, mais j’avance sans m’appesantir sur ce fait. La nuit m’enveloppe donc et j’en fais parti à mon tour.

Ce moment de la journée était mon préféré, bien plus apprécié que mon loisir de forgeron, je devenais le chasseur, peut être pas le chasseur ultime, mais un chasseur qui se défendait et défendrait sa peau très chèrement. J’avançais en silence à travers la forêt qui était empli des bruits de la nuit, mes pas ne s’entendaient pas et mon souffle était presque inaudible, je disparaissais dans l’environnement, et cela apporta en moi une sensation de bien-être et de puissance.
Des bruits autour de moi raisonnaient, des retardataires qui rejoignaient enfin l’endroit où ils passeraient la nuit, à tout autre moment, je me serais arrêté pour les surprendre, mais aujourd’hui, une mission m’avait été confiée. Le chef de notre village était venu me voir pour me payer si je chassais la bête s’en prenant de nuit aux bétails et humains de notre village. J’aurais bien refusé cette mission mais apparemment, trois autres chasseurs étaient déjà partis sans jamais revenir, tout cela avait excité le chasseur curieux en moi. Et me voici donc, me promenant dans la forêt, à la recherche d’un prédateur apparemment plus fort que moi.

En communion avec la forêt, il me fallut à peine quelques secondes avant de me rendre compte que le silence était tombé autour de moi. Il faut savoir que même la nuit, des bruits raisonnaient toujours dans la forêt, des hululements, des crissements, des criquets. Toute cette vie était absente en ce moment-même. Un sentiment d’adrénaline m’envahit pendant qu’en moi, tous mes instincts criaient la fuite. En temps normal, j’écoutais toujours mon instinct, mais cette fois, la prime et la nouveauté étaient assez intéressantes pour me faire ignorer ces signaux envoyés par mes instincts de chasseur. Je renforçais ma prise sur mon arbalète, la levant et encochant mon carreau. Mes pas étaient toujours aussi silencieux et en apparence, rien n’avait changé, mais je sentais un regard posé sur moi. Le mien balaya la clairière où j’étais, cherchant l’origine de ce regard étranger, mais ne le trouvant pas avant qu’il ne soit trop tard.

Un coup de vent me déséquilibra, mais je ne perdis pas mon arbalète, un rire enchanteur, et véritablement amusé raisonna, me faisant m’interroger sur sa provenance. Ma tête tourna dans toutes les directions, ne trouvant pas cette femme, car c’en était une au vu du rire. Un autre coup de vent, que je soupçonnais provenir de cette femme m’arracha mon arbalète. Cette fois, la situation se corsait, pourtant, je ne choisis pas de sortir mon glaive, ayant peur de voir ma dernière arme m’être arraché. J’attendis donc que cette femme arrête de jouer et apparaisse. Et là, me vient une apparition.

Cette femme était rousse, d’affriolantes boucles rousses même. Celle-ci courait autour d’un visage délicat figé dans une expression qui était mi-féroce, mi-souriante. Son corps était recouvert de peau de bête et de matière qui m’était inconnu sur le moment, même si ma vision nocturne était bonne. Son corps tressautait de ses rires et en sa main se tenait mon arbalète. Sa voix s’éleva ensuite, bref moment de bonheur parmi toutes mes incertitudes, mes yeux ayant du mal à transmettre en mon cerveau ce que je voyais.

« C’est cela que tu cherches, Chasseur ? »

Je ne fis pas l’erreur de lui répondre, son regard me montrant qu’elle aurait éprouvé un amusement certain à me voir patauger en eaux troubles pour m’en sortir. Mon absence de réponse la poussa à reprendre avec un air déçue de petite fille, qui vous filait des frissons d’angoisse dans le dos.

« Tu as perdu ta langue Chasseur ? Enfin, ce n’est pas grave, tu n’en auras bientôt plus besoin de toute façon. »

Mes sourcils se froncèrent en l’entendant, je ne comprenais pas encore ce qui se passait. Et là, tout d’un coup, elle fut devant moi, mon arbalète laissée en arrière, elle m’observa d’un air fasciné, touchant mon bras, me faisant reculer. Cette incroyable beauté paraissait perdue, elle releva la tête vers moi et dit avec une moue triste.

« Dommage que tu doives mourir, tu aurais fait un compagnon tout à fait acceptable tout de même. »

A la fin de sa phrase, elle m’enlaça, et je me découvris incapable de me défendre, sa force étant beaucoup plus grande que je ne l’aurais d’abord pensé. Tout d’un coup, une grande douleur apparut dans mon cou, une déchirure, au bout de quelques secondes, je compris qu’elle était dû à cette femme et ses… Canines ? Il me fallut un moment pour me rappeler de légendes locales communiquées par des marchands, et là, je compris ce qu’il se passait, et je compris ce qui avait tué mes autres collègues. Une vampire. Elle.
Cette nouvelle me mit en colère, je n’allais certainement pas mourir de la main d’une femme, aussi belle soit-elle. Ma main se glissa à ma taille, et trouva mon glaive que j’attrapais fermement malgré la douleur qui me prenait à la gorge. Une profonde inspiration, puis je donnais cette fois un grand coup vers le haut, déchirant le ventre de cette femme jusqu’à ses côtes et surement son cœur.
Elle émit un gémissement avalé signifiant la douleur qui aurait surement rendit n’importe qui d’autre de compatissant, mais ne me fit rien. Elle s’arracha à mon cou, et la brise nocturne caressa la peau ouverte de mon cou. Elle me regardait avec de grands yeux choqués et douloureux mais ne paraissait pas être sur le point de s’effondrer comme n’importe qui d’autre l’aurait fait. Au contraire même, un sourire s’étendit sur ses lèvres, qu’elle lécha, lèvres rouges écarlates, écarlate de mon sang. Elle éclata d’un grand rire carillonnant et me dit, a à peine 1 mètre de moi :

« Beau, chasseur, musclé et rusé. Bravo, je n’avais pas vu cette arme et ton coup. Tu aurais surement tué d’autres, moins vieux que moi. »
Elle laissa passer un silence, avant de reprendre avec enthousiasme. « Tu feras un excellant apprenti donc. »

Elle donna un coup, surement j’imagine, même si je ne le vis pas, à ma main qui tenait mon glaive et je dus le lâcher, à ce moment-là, elle ressauta sur moi.
La suite se fit flou dans ma mémoire, et je compris à mon réveil qu’elle était en train de me vider, cette fois non pas pour se nourrir mais pour me transformer.
Ce fût à ce moment-là que commença ma vraie vie. Que je deviens Clark Rinze, un vampire. Un chasseur. Le Chasseur ultime.

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Domino Vey
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MessageSujet: Re: Flash-Back, Un chasseur est né   Flash-Back, Un chasseur est né EmptyVen 1 Mai - 0:13

Sinon, voilà qui est fort bien écrit. J'aime l'idée de me plonger dans la tête de Clark. C'est vraiment intéressant, on en découvre vraiment des choses sur lui que je n'aurais jamais imaginer. Qui puisse laisser faire sa propre femme ainsi, j'ai du mal à le croire. Sinon sa transformation, c'est pas commun non plus. Vraiment, intéressant Smile
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Kahlan Holt
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Kahlan Holt
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MessageSujet: Re: Flash-Back, Un chasseur est né   Flash-Back, Un chasseur est né EmptyVen 1 Mai - 22:29

Merci pour le codage, je vais laisser les deux, perso sur le PC de la famille ça fonctionne par contre sur les tel non, du coup bah ton codage aide Wink
Tu as finalement trouvé ce qui clochait, c'était quoi exactement ?

Sinon je suis contente de savoir que ce texte te plaise, et il fait te dire que Clark est très vieux, il s'est endurci avec le temps mais sinon c'était tout de même un homme dans une société hiérarchisé où il ne se sentait pas a sa place. Mais il n'avait pas encore les moyens de faire engendre sa voix, alors il se voulait dans le moule et apprenait à laisser le temps passer pour agir au bon moment ce qui caractérise pas mal Clark cette attente.
Pour ce qui est de la transformation de Clark, je crois que de toute façon, a part Victoria et Domino, personne n'a eu de "belles" transformations ^^
Enfin bon, contente de savoir que ce tout petit texte te plaise Smile
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MessageSujet: Re: Flash-Back, Un chasseur est né   Flash-Back, Un chasseur est né Empty

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